La cabine du Globe 530.4 est confortable d’origine. Pour dormir, nous avons cependant rejoint les deux bancs afin d'augmenter notre confort avec une planche amovible. Pour la largeur du lit, c’est réussi ! |
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Aménagement du lit
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Bloqueur de stick
Il est souvent agréable de pouvoir lâcher la barre, lors de manœuvres, pour aller au pied de mât, pour démarrer ou régler le moteur ou tout simplement pour boire un coup. Et dès qu'on lâche la barre, le safran pivote et le bateau tourne. Sur le plat bord, près du taquet coinceur de spi, j'ai fixé une petite pince (support plastique) diamètre 15 que l'on trouve chez les shiplanders. |
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Pour les manœuvres, c'est super. Sous voiles, au près, je peux stabiliser le bateau jusqu'à force 3 et mer plate. Si le vent monte ou si la vague se creuse, le stick dérape dans la pince. Il faudrait trouver une solution plus efficace ! En attendant, j'utilise alors le pilote élastique de Didier Serrut, voir sur Nauticaltrek. J'ai aussi un pilote automatique, lorsque je sors seul. |
Coinceur de sécurité pour la dérive et le safran
| Nous aimons le rase cailloux, et parfois la dérive touche et même le safran. Et lors de l'atterrissage à la cale de mise à l'eau, il arrive qu'on oublie une des manœuvres de relevage des appendices et alors, ils touchent. Pour éviter les efforts trop importants, notamment sur la tête de safran, j'ai équipé les deux drisses de descente avec des taquets de sécurité de chez ..... distribués par Plastimo . Ils sont réglables. |
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A ma grande surprise, la sécurité du safran saute assez souvent, par exemple lors de manœuvre de mouillage en eau peu profonde. Comme quoi je suis souvent trop optimiste quant à la profondeur de l'eau ! |  |
Une prise de ris efficace
Parfois, le vent monte rapidement, surtout en Méditerranée. Notre Globe 530.4 a une dérive lestée et il supporte très bien les coups de vents. D’abord, j’enroule le foc et sous grand voile seule, Idéfix reste très agréable à barrer.
Mais Annie, mon équipière préférée, est devenue craintive, en fait, elle est effrayée par le bruit de la grand voile qui faseye.
Et une fois le vent et la mer établis, une prise de ris est toujours problématique … Pour améliorer la prise de ris, j’ai optimisé la bosse du 2ème ris : un brin double tire le point d’écoute et un autre brin double tire le point d’amure, permettant ainsi à la ralingue (régulièrement graissée à l’huile de silicone) de descendre alors que la GV est légèrement gonflée pour éviter qu’elle ne faseye. Le 2ème ris est à 1,70 m de la bôme, il me faudra donc tirer 4 fois cette hauteur, soit presque 7 m de drisse, le prix à payer pour avoir une bonne démultiplication et ainsi appliquer une force appropriée sur les œillets. |
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Ce système doit aussi permettre de prendre les ris sans que la bôme ne tombe dans le cockpit, ce qui est toujours inquiétant lorsque que la voile faseye et que la bôme suit le mouvement, heurtant les flancs du cockpit et les humains. Côté vit de mulet, j'ai posé une poulie dans la réservation prévue à cet effet. |
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Étanchéité du bout dehors
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J’ai choisi de poser une coupelle qui vient recouvrir la totalité du pallier. L’étanchéité est améliorée sans être parfaite pour autant. Mais, du fait de la vitesse du bateau et de l’effet dynamique induit, l’eau ne devrait plus entrer, même au contraire, elle devrait créer une dépression, un peu comme le fait un vide-vite. |
J’ai acheté sur Ebay une chute de Delrin (ou POM) et Phil, de Winnie, l’a usiné avec précision sur son petit tour. Bien que proche géographiquement, Phil et moi, nous nous sommes connus via Nauticaltrek, puis la solidarité entre voileux a fait le reste ! Bientôt les essais en mer ! |
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Modification de la commande AV-PM du moteur
bientôt la photo |
Le moteur est au ras de l’eau, normal, il faut bien que l’hélice trempe ! Et le levier point mort / marche avant est quasiment sous le moteur. Pendant les manœuvres, il fallait que je me baisse à tel point que je perdais le cap ce qui est toujours gênant lorsqu’on est à proximité d’autres bateaux ou de pontons. En plus, j’aime faire de jolies manœuvres, je cherche presque l’élégance, l’harmonie entre les équipiers, venir s’arrêter au bout de l’erre, (cela tombe bien car j’ai la marche arrière par retournement du moteur). Alors, j’ai rallongé le levier de commande avec un morceau de latte de voile. Et les manœuvres du moteur deviennent un vrai bonheur. |
Réparation de la dérive lestée
Idéfix, notre Globe 530.4, a l’option dérive lestée à 60 kg. Super pour la stabilité. Mais … Qui dit lest dit un système de démultiplication pour tirer sur la drisse de relevage avec une force d’environ 400 kg. Le constructeur nous a mis le treuil au milieu de la descente, il fallait l’enjamber. Alors, en 2007, nous l’avons déplacé en suivant les précieux conseils de Phil, de Winnie. |
bientôt la photo |
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Ensuite, la dérive s’est ouverte sur le bord d’attaque. Il est vrai que nous faisons beaucoup de rase cailloux et que la dérive touche souvent. Le problème vient du fait que rien ne colle sur le plomb, trop gras. Donc la masse de plomb bouge dans la dérive et agit comme un coin qui vient défoncer le bord d’attaque. |
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Sur les conseils de SF Composites, fournisseur de résine à Montpellier et à Aubagne, en 2008, j’ai réalisé 5 rivets diamètre 10 mm en résine armée de fibre de verre, rivets qui traversent de part en part le plomb et le solidarisent aux deux parois de la dérive. J’ai également réparé le bord d’attaque. J’ai poncé le gelcoat, puis j’ai posé deux couches de résine armée en forme de U sur le bord d’attaque. |
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A venir, entre autres ... :
Drisse de sortie du bout dehors
Modif taquet de l'enrouleur de foc
Modif du taquet d'écoute de foc
Equipets en résine
Options du Globe
